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Si vous n’avez pas l’intention d’acheter une voiture, ne regardez surtout pas ce spot : vous risqueriez d’attraper l’envie d’acheter une GS des années 1970 ! Et ce, à quelques jours de l’ouverture des commandes pour la ë-C4.
Citroën s’est amusé à puiser dans son histoire pour présenter la nouvelle C4, dont sa déclinaison électrique ë-C4 qui sera commercialisée à la fin de la présente année. En plus de commencer le spot publicitaire sur la GS mise en production dès 1970 (Happy cinquantenaire !), le slogan « Nouvelle C4, ouvrëz la route » semble trouver ton droit son inspiration dans le fameux « La GSA, elle refait la route » qui marque le rafraîchissement 1979 de l’ancienne berline.
Entre la GS et la ë-C4, un élément de confort qui rend l’offre Citroën à nouveau différente : la suspension. Hydropneumatique pour celle qui a reçu le trophée européen de la voiture de l’année 1971, elle est dotée, sur la nouvelle venue, de butées hydrauliques progressives. Dans les 2 cas l’aspérité des routes dégradées est gommée tout en conservant une excellente tenue de route.
La continuité entre les 2 engins est également suggérée par l’ambiance sonore qui a pour fond ce joyeux standard du gospel « Oh Happy Day ».
La GS était une voiture de rupture pour sa catégorie, sortie du néant, et empruntant à la DS son architecture hydraulique. Un modèle totalement novateur et sécurisant face à l’Ami 6 remplacée en 1969 par l’Ami 8. Un rôle que ne jouera pas la nouvelle ë-C4, puisque l’origine de la C4 actuelle repose sur une première génération apparue en 2004 (en faisant abstraction de l’ancêtre de la fin des années 1920).
Philippe SCHWOERER
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