La suite de votre contenu après cette annonce
La supercar Evija devait symboliser le passage à l’électrique de la firme britannique. Mais avec les retards accumulés pendant sa conception, elle n’est finalement que le troisième modèle électrique commercialisé par la marque.
En 2017, le groupe Geely met la main sur Lotus, via le sauvetage du constructeur malaisien Proton. Quelques mois plus tard, le nouveau plan stratégique de la marque anglaise est arrêté. D’une part, Lotus développera sa gamme au-delà des sportives pour devenir un rival de Porsche. D’autre part, Lotus deviendra une firme 100 % électrique avant 2030.
Pour faire passer le message, à la manière dont Porsche a souvent procédé lors des grands changements, Lotus prépare une supercar électrique. Voici donc la Lotus Evija, dévoilée en 2019 et qui doit arriver chez les clients à la fin de l’année 2020… Le Covid a mis un arrêt à certains travaux et la reprise s’est avérée plus compliquée que prévu.
Dan Balmer, Directeur Général de Lotus pour l’Europe, vient de confirmer que l’Evija était désormais en mode de production et livraison. Avec donc quatre ans de retard sur le programme initial. Car si la toute première unité a été officiellement livrée en août 2023, il s’agissait bien d’un exemplaire spécial et non d’un modèle de production régulière.
L’Evija devait annoncer l’arrivée des premiers modèles électriques, mais le SUV Eletre et la berline Emeya l’ont devancée. Seulement 130 exemplaires sont prévus. Avec ses 1500 kW, la supercar branchée viendra se frotter aux Rimac Nevera et Pininfarina Battista. Son prix est du même niveau, à plus de 2 millions d’euros.
La suite de votre contenu après cette annonce
Le meilleur d'Automobile Propre, dans votre boite mail !
S'inscrire gratuitement