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Le domaine des transports en France est un fort vecteur de pollution atmosphérique et contribue aux émissions de gaz à effet de serre (GES) pour plus de 35%. C’est pour cette raison que les pouvoirs publics ont lancé le bonus et le malus écologique.
Selon l’ADEME, depuis que cette mesure existe, elle a permis d’économiser 470 000 tonnes de CO2, soit l’équivalent des émissions annuelles de 235 000 voitures. Voici le premier billet d’une série de 4 articles qui vont aborder les aides de l’État pour favoriser les véhicules sobres en carbone et peu polluants.
Cette aide n’est pas celle que tout le monde attend, c’est-à-dire financière. Par contre, en un coup d’œil, l’étiquette écologique permet de connaître l’impact sur l’environnement de la voiture de vos rêves. C’est une aide précieuse pour vous aider à faire votre choix lors d’un achat.
L’étiquette écologique est maintenant obligatoire pour les véhicules neufs vendus en France. Elle ressemble beaucoup aux étiquettes que l’on retrouve sur les appareils électroménagers ou sur les diagnostics énergétiques des bâtiments (affichage display).
C’est un outil simple qui permet de connaître la consommation du véhicule et ses émissions de GES. Les 7 classes de A à G indiquent les émissions de CO2. La note de A correspond bien sûr aux voitures les moins émettrices et G à celles qui émettent le plus.
L’affichage écologique est un réel pas en avant pour le consommateur, qui ne pourra plus dire qu’il n’était pas bien informé en achetant une voiture polluante. Par exemple, aujourd’hui il est très dur de trouver un appareil électroménager qui soit classé en C ou D. Cet affichage contribue donc à responsabiliser les consommateurs et à marginaliser petit à petit les plus « mauvais élèves » !
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