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Audrey et Olivier, les deux ambassadeurs sélectionnés par Automobile Propre, sont partis trois semaines au volant de la Citroën ë-C4. Ils nous livrent aujourd’hui leur verdict sur cette nouvelle berline compacte 100 % électrique.
Emmener les enfants à l’école, faire les courses en ville, se balader le week-end en famille, « expérimenter » les longs trajets sur autoroute à l’occasion des vacances scolaires… Durant leurs trois semaines d’essai, Audrey et Olivier auront presque tout fait au volant de leur Citroën ë-C4 100 % électrique ! Un essai dans la vraie vie. « C’est une chance exceptionnelle d’avoir pu tester l’ë-C4 dans mes conditions réelles d’utilisation », souligne Olivier. Et Audrey d’ajouter : « Tout autant que l’électrique, j’ai aussi découvert la marque Citroën durant cet essai ».
Déjà séduits par son design très « avant-gardiste », son habitacle « spacieux », « sérieusement présenté », « ergonomique » et à « l’ambiance techno », Audrey et Olivier ont surtout découvert un grand bien-être au volant de l’ë-C4.
Un confort que la Citroën doit surtout à l’agrément de conduite que procure sa motorisation électrique. Pas de bruit de moteur, pas de vibration dans l’habitacle ou le volant, aucun à-coup car pas de changement de vitesse, des accélérations instantanées et très linéaires : une douceur et une fluidité de conduite naturellement supérieures à celles d’une voiture thermique.
« Une conduite très zen », confirment nos ambassadeurs. « J’ai même découvert un confort que je ne soupçonnais pas à bord de l’ë-C4 », souligne Audrey. « Du coup, je conduisais beaucoup plus cool, en privilégiant le mode de conduite Normal plus énergique que le mode Eco et moins gourmand que le mode Sport. Et comme je sélectionnais aussi le mode B de récupération d’énergie, j’utilisais beaucoup moins la pédale de frein », ajoute-t-elle. Une écoconduite qui est même devenue une habitude pour Olivier. « En arrivant sur les ronds-points, je levais le pied de l’accélérateur bien avant pour récupérer de l’énergie. Au fil des jours, je me suis même pris au jeu, surtout qu’à bord, l’interface de l’ë-C4 indique précisément les échanges de flux », explique-t-il, avant d’ajouter : « Je regrette que ce mode B ne puisse être sélectionné directement depuis le volant et, surtout, qu’il faille le réactiver à chaque fois que l’on coupe le moteur ou que l’on passe la marche arrière ».
Gestion de l’autonomie, repérage des bornes à l’aide de l’application Chargemap et du GPS embarqué, recharge de la batterie… Après un court temps d’adaptation, nos deux ambassadeurs se sont rapidement familiarisés avec l’éco système si particulier d’une voiture électrique.
Sachant qu’Audrey n’effectuait que de courts déplacements en région lyonnaise et qu’Olivier parcourait environ 150 km chaque jour sur les petites routes de Seine-et-Marne, la Citroën ë-C4 convenait parfaitement à leur rayon d’action. Sur l’autoroute en revanche, Audrey et Olivier ont constaté que l’autonomie d’environ 200 km de l’ë-C4 pouvait parfois être une source de stress. « Un handicap sur longs trajets », admet Audrey, en regrettant surtout que les bornes ne soient pas toujours très fiables (défectueuses ou déjà occupées…) et qu’il n’y ait pas davantage de stations rapides type Ionity. « Reste que même en véhicule principal, je me suis finalement rendu compte qu’une électrique comme l’ë-C4 était parfaitement adaptée à l’usage que j’ai d’une voiture au quotidien », souligne -t-elle.
Et Olivier de conclure : « Cet essai de la Citroën ë-C4 m’a surtout permis de lever tous les doutes que j’avais quant à l’utilisation et la pertinence d’une voiture électrique dans le cadre de mon travail. C’est sûr, je vais franchir le pas ! ».
Audrey, 40 ans, chargée de financement, Champagne-au-Mont-d’Or (69)
« Au quotidien, je me suis parfaitement adaptée à l’électrique. Du silence, de la souplesse, beaucoup de douceur… Au volant de l’ë-C4, je me sentais comme dans un cocon au milieu de la circulation. Et vu que 80 % de l’année, mes déplacements habituels sont principalement urbains et périurbains donc effectués sur de petites distances, l’autonomie de cette électrique me suffisait largement. Cela, d’autant que je n’avais aucun problème pour recharger, la plupart du temps durant la nuit ou en journée sur une prise domestique à mon domicile.
En revanche, pour en avoir fait l’expérience lors de notre retour sur Lyon et d’un week-end à la montagne, le bilan est plus mitigé pour les trajets de plus de 300 km. Avec une consommation moyenne sur autoroute qui, même en conduite coulée, dépasse parfois les 20 kWh au 100 kilomètres, l’autonomie fond rapidement et oblige à s’arrêter souvent pour faire le plein d’électricité. J’ai aussi découvert une nouvelle façon de conduire, beaucoup plus cool. C’est finalement très agréable. Même les enfants sont plus zen en voiture ! J’ai aussi été étonnée par la qualité de la finition et plus encore par le confort général. Les suspensions sont particulièrement prévenantes et l’espace à bord généreux.
Dans un autre registre, je reste aussi un peu sur ma faim avec le système multimédia qui n’apporte pas autant de nouveautés que je l’imaginais ou alors des fonctionnalités qui ne me servent pas vraiment au quotidien. En revanche, la caméra de recul avec la reconstitution en images des alentours de la voiture me manque vraiment beaucoup lors des manœuvres maintenant que j’ai retrouvé mon vieux BMW X1.
Reste que l’ë-C4 correspond parfaitement à notre mode de vie et m’a convaincue du bien-fondé des voitures électriques. Avec mon mari, on se donne quelques mois pour réfléchir… »
Olivier, 44 ans, infirmier libéral, Bernay-Vilbert (77)
« J’avoue avoir été vraiment séduit par le design de cette ë-C4 que je trouve encore plus avant-gardiste que les récentes réalisations de Citroën. Habitué à mon SUV C5 Aircross, j’ai rapidement retrouvé mes marques à bord avec des commandes ergonomiques, des rangements nombreux ainsi qu’un système multimédia réactif et complet, que soit pour écouter ma musique, connecter et recharger par induction mon smartphone ou naviguer avec le GPS.
J’aurais toutefois aimé un peu de couleur sur la planche de bord que je trouve assez sombre. Sachant que je m’arrête au moins 40 fois par jour lorsque je rends visite à mes patients, je regrette aussi les bas de caisse trop hauts et les longues portes qui m’obligeaient à me contorsionner pour sortir de voiture.
Côté confort, j’ai retrouvé la sellerie Citroën, avec des sièges ultramoelleux et des suspensions qui absorbent à merveille les irrégularités de la route. J’ai surtout découvert avec l’électrique un agrément de conduite mêlant silence, douceur et dynamisme que je ne soupçonnais pas. Avec, entre autres avantages, de pouvoir conduire de façon calme et économique ou à l’inverse de façon très dynamique grâce aux différents modes de conduite. En sélectionnant le mode “B” qui recharge la batterie lorsqu’on décélère, j’ai aussi pris l’habitude de moins freiner et adopter l’écoconduite. En 3 000 kilomètres, j’ai consommé en moyenne 16 kWh/100 km. Sachant que je parcourais en moyenne 150 km par jour et que je rechargeais un peu plus de deux heures durant ma pause déjeuner sur une borne publique, l’autonomie de l’ë-C4 s’est révélée largement suffisante pour assurer mes tournées sans souci.
En revanche lors des longs trajets, la consommation et l’autonomie sont plus problématiques. Reste que cet essai de l’ë-C4 m’a convaincu que l’électrique est parfaitement adapté à mon style de conduite et à l’utilisation que je fais d’une voiture. Dès que je peux, je franchis le pas. »
Article réalisé en partenariat avec Citroën. En savoir plus
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