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L’arrivée de Nio en France se fera finalement un peu plus tard que prévu. Le constructeur a décidé de ralentir son expansion européenne et de se concentrer sur les marchés sur lesquels il est déjà implanté.
Face aux taxes européennes, Nio a choisi, comme d’autres, de ne pas changer ses prix et de rogner sur ses marges. La commission européenne a choisi de taxer le petit constructeur à hauteur de 21,3% supplémentaires. La marque n’étant pas encore rentable, sa situation financière n’est donc pas au beau fixe…
En conséquence, William Li, Directeur Général de Nio, a annoncé vouloir ralentir son expansion internationale. Pas question de plier bagage, mais la prudence est de mise. La conquête de nouveaux pays sera donc reportée. Pour le moment, le constructeur préfère se concentrer sur les pays dans lesquels il est déjà présent pour y améliorer sa distribution, son service et son réseau de charge et d’échange de batteries.
À lire aussiConnaissez-vous ces nouveaux constructeurs de voitures électriques ?À court terme, les SUV et berlines électriques de Nio resteront donc uniquement proposées en Norvège, Suède, Danemark, Pays-Bas et Allemagne. Nio compte à ce jour 49 stations d’échange dans ces pays, dont 18 en Allemagne, 11 Norvège, 10 aux Pays-Bas, 9 en Suède et une seule au Danemark.
L’implantation prévue pour début 2025 en France, Suisse, Irlande ou au Royaume-Uni se fera donc à une date ultérieure… Le lancement des nouvelles marques Onvo et Firefly en Europe pourrait également être repoussée.
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