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Elon Musk défend Tesla dans l’affaire de la Model S accidentée sans conducteur. Le PDG de la marque assure que la voiture n’avait pas le Full Self Driving. Il rappelle aussi que l’Autopilot n’aurait pas pu causer un tel accident.
Une Tesla a été impliquée hier dans un accident au Texas, dans lequel deux personnes sont décédées. L’histoire a fait grand bruit puisque la voiture n’avait visiblement pas de conducteur au moment du choc. Pour Elon Musk, il est impossible que l’Autopilot ait été enclenché.
Répondant à un internaute sur Twitter, qui communiquait son étonnement face à cet accident, Musk a été formel. Il confirme aussi que le modèle n’avait pas l’option autonome Full Self Driving (FSD). « Les données retrouvées jusqu’ici montrent que l’Autopilot n’était pas enclenché et que la voiture n’était pas équipée du FSD. »
« De plus, l’Autopilot standard aurait requis des lignes sur lesquelles tourner, et cette rue n’en avait pas », ajoute Musk. Il a au passage égratigné le Wall Street Journal, qui avait parlé de voiture en fonctionnement autonome. « Vos recherches en tant que personne sont meilleures que celles des professionnels du WSJ », a-t-il répondu à l’internaute.
Néanmoins, la police ne semble pas aussi formelle que Musk face à cet accident. Les enquêteurs vont établir des mandats de perquisition au sein de l’entreprise pour avoir des détails sur la Tesla Model S accidentée.
Mark Herman, agent en charge de l’enquête, confirme que des témoins ont vu la voiture sans conducteur. Il s’étonne des propos de Musk : « S’il tweete cela, s’il a déjà sorti les données, il ne nous en a pas parlé. Nous attendons impatiemment ces données. » Histoire à suivre, donc.
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