La suite de votre contenu après cette annonce
Prudente avec les firmes chinoises, l’Inde cherche toujours à séduire Tesla. Avec la démocratisation des voitures électriques, l’industrie automobile du pays pourrait subir de grands changements dans les années à venir.
L’Inde ne semble pas décidée à satisfaire l’appétit des constructeurs automobiles chinois. En effet, le pays a fait le choix de restreindre l’accès au marché à BYD. Selon nos confrères de Bloomberg, New Delhi a rejeté il y a quelques mois la proposition d’investissement d’un milliard de dollars du fabricant chinois avec un partenaire local.
Un autre groupe chinois, Great Wall Motor, s’est également retiré de l’Inde après avoir « échoué à obtenir les autorisations réglementaires » pour démarrer la production. Le ministre indien du Commerce, Piyush Goyal, a déclaré que l’Inde devait être « prudente quant à ses intérêts stratégiques et aux personnes qu’elle autorise à investir ».
À lire aussiLe Royaume-Uni assouplit encore ses objectifs en matière de transition vers la voiture électriqueUne approche protectionniste, mais pas envers tout le monde. En parallèle, le pays le plus peuplé de la planète tente toujours d’attirer les investissements de Tesla sur son sol. Rappelons que l’Inde applique une stratégie intransigeante à l’égard des importations de voitures avec des droits de douane de 100 % sur les véhicules entièrement construits.
Mais il semble que l’accélération des négociations de libre-échange avec les États-Unis et l’Union européenne pousse le troisième plus grand marché automobile du monde à s’ouvrir aux acteurs étrangers. Piyush Goyal estime que « l’Inde dispose d’une grande marge de manœuvre pour conclure des accords commerciaux avec les pays développés ».
La suite de votre contenu après cette annonce
Le meilleur d'Automobile Propre, dans votre boite mail !
Découvrez nos thématiques voiture électrique, voiture hybride, équipements & services et bien d’autres
S'inscrire gratuitement