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Verkor, une entreprise stratégique pour l’industrie française, entame une phase de production test. Dernière ligne droite avant le début officiel de la production à grande échelle prévu pour début 2026.
Le projet phare de Verkor à Dunkerque vient d’entrer dans une étape décisive. L’usine de batteries pour véhicules électriques, symbole de la réindustrialisation française, a lancé sa phase de production test. Le site, quasi-achevé, entame les derniers ajustements techniques, selon le fonds d’investissement Meridiam.
« Nous sommes en train de finaliser les raccordements mécaniques et électriques », a précisé Benoît Lemaignan, co-fondateur de Verkor, lors d’un point presse. Le démarrage effectif de la production à grande échelle est prévu pour début 2026. L’usine vise une capacité annuelle de 16 GWh d’ici 2028, dont 12 seront destinés à Renault.
Cela permettra d’équiper jusqu’à 150 000 véhicules électriques, notamment les futurs modèles Alpine. Contrairement à d’autres projets plus vastes et complexes comme celui du suédois Northvolt, Verkor se concentre exclusivement sur la fabrication de cellules lithium-ion, un positionnement jugé « plus stable » par les investisseurs.
À lire aussiLe SUV électrique d’Alpine aura des batteries produites par VerkorRenault, actionnaire du projet, apporte par ailleurs un soutien stratégique majeur. La collaboration entre les deux entreprises ne s’arrête pas là. Verkor a été intégré au projet Renault Emblème. Le Français est le fournisseur officiel de la batterie de 40 kWh qui équipe le concept. Un pack dont les émissions de CO2 seront réduites de 72 %.
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