AccueilBrèvesPour ses microcars électriques, Stellantis veut s'inspirer d'Ikea grâce à cette start-up suédoise

Pour ses microcars électriques, Stellantis veut s'inspirer d'Ikea grâce à cette start-up suédoise

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Pour améliorer la fabrication de ses microcars électriques, Stellantis va collaborer avec Luvly, une start-up suédoise spécialisée dans la production de quadricycles. Cette société applique la « méthode Ikea » et réalise des économies considérables. 

Le géant franco-italo-américain cherche à étendre ses activités dans le domaine du quadricycle électrique. Comme le relate Autocar, Stellantis vient de conclure un partenariat avec la société suédoise Luvly pour évaluer sa méthode de production.

La méthode Ikea ?

La firme suédoise a mis au point une technique innovante. Celle-ci consiste à utiliser une série de grands panneaux reliés par des connecteurs en aluminium extrudé sur lesquels sont montés d’autres composants clés comme la suspension, les moteurs ou encore les panneaux de carrosserie. Un genre de montage en kit, comme peut le proposer Ikea.

Cette stratégie « permet de réaliser des économies considérables » selon Håkan Lutz, le patron de Luvly. Notamment au niveau du transport. En effet, l’entreprise est capable d’entasser 20 exemplaires assemblés de son quadricycle dans un conteneur standard. Ce même conteneur peut être utilisé pour expédier 250 unités non assemblées.

Stellantis mise sur les microcars électriques

Le Luvly O n’est pas encore commercialisé, mais il promet une autonomie de 100 km grâce à une batterie de 6,4 kWh. Cette microcar électrique sera vendue à partir de 10 000 euros. Une potentielle rivale du Mobilize Duo de Renault. De son côté, Stellantis dispose déjà des Citroën Ami, Fiat Topolino et Opel Rocks-e.

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Håkan Lutz estime que « l’objectif de ce partenariat avec Stellantis est de montrer que nous pouvons tenir nos promesses. Si nous parvenons à démontrer la rentabilité de notre plateforme et que Stellantis choisit de l’adopter, ce pourrait être un événement majeur, non seulement pour nous, mais aussi pour l’industrie automobile ».

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