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Peu de temps après la Rimac Nevera, l’Aspark Owl s’est offert deux records du monde grâce à ses performances délirantes.
La Rimac Nevera est à ce jour tout en haut de la hiérarchie en matière de voitures électriques, voire de voitures tout court. La supercar croate de dernière génération vient de s’octroyer dans le plus grand des calmes 23 records du monde ! Mais elle n’est plus seule, et l’Aspark Owl vient de lui voler la vedette sur deux exercices pour le moins originaux.
Bien moins connue du grand public, la supercar japonaise n’a pourtant pas à rougir face à la Rimac Nevera. Car derrière sa drôle de silhouette, la Owl présente une fiche technique affolante. La supercar délivre jusqu’à 2 012 ch pour 2 000 Nm de couple avec ses quatre machines électriques. L’ensemble est alimenté par une modeste batterie de 64 kWh, qui permettrait de viser les 450 km d’autonomie NEDC.
Bref, là n’est pas vraiment l’intérêt de ce missile, capable de chatouiller les meilleures. Et c’est ce qu’elle a prouvé sur une piste d’aéroport, en décrochant deux records de vitesse moyenne sur le 200 m et 400 m D.A (eight mile/quarter mile). Une drôle de façon de calculer un exercice où la Rimac Nevera ne s’y trouve pas, mais qui se traduit par des vitesses records de 309,02 et 318,85 km/h respectivement !
Ce record ne dit donc pas en combien de temps l’Aspark Owl a passé la ligne d’arrivée, ni la vitesse de passage. En attendant, la Rimac Nevera garde le titre avec un temps de 8,25 s sur l’exercice le plus long. Reste à savoir laquelle des deux accélère vraiment le plus fort donc. Mais pour cela, la firme japonaise n’oublie pas de préciser que sa supercar peut tomber le 0-60 mph (0-96 km/h) en 1,72 s, contre 1,74 s pour la Rimac…
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