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En inaugurant ses deux concessions à Paris, la marque chinoise BYD démarre officiellement en France avec trois voitures électriques.
Depuis l’automne, BYD possédait bien une concession en France. C’est boulevard de Sébastopol à Paris que ce premier site avait élu domicile, mais un site fantôme. Si la marque chinoise avait lancé en fanfare son extension en Europe lors du Mondial de l’Auto, elle n’était pas formellement commercialisée en France.
C’est désormais réparé. BYD, avec son partenaire BymyCar, a inauguré les débuts français la semaine dernière, en parallèle de l’annonce de son usine de batteries. Un évènement eut lieu pour baptiser la concession de Rivoli, ainsi que la nouvelle située boulevard de Reuilly, toujours à Paris. Le constructeur de voitures électriques ambitionne une centaine de points de ventes d’ici à 2025, apprend-on via le Journal de l’Auto.
À lire aussiChez BYD, l’essence, c’est déjà finiPour le moment, BYD réserve son catalogue aux trois modèles prévus initialement, et qui étaient visibles dans le site de Rivoli depuis septembre. Il s’agit du SUV compact Atto 3, de la grande berline Han EV et le SUV 7 places Tang EV.
La venue de la compacte Dolphin, une rivale de la Renault Megane E-Tech ou de la MG4, et de la berline familiale Seal visant la Tesla Model 3 serait possible d’ici à la fin 2023. Enfin, BYD a confirmé que la marque Denza, aux grands SUV et monospace électriques, arriveraient en Europe, comme probablement les tout-terrain Yangwang. Et aussi en France ?
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