Toyota lance une offre originale pour inciter les professionnels à passer à l'électrique

Toyota souhaite booster ses ventes d’utilitaires électriques. Pour y arriver, il met en place une intéressante offre « satisfait ou échangé ».

Pour ses utilitaires, Toyota est associé à Stellantis. Il en a d’ailleurs profité pour élargir son offre cette année avec le Proace Max, une version rebadgée des grands fourgons nés chez PSA et Fiat, qui s’est donc ajoutée aux Proace City et Proace. Ces derniers ont été rafraîchis cette année.

Les trois fourgons sont déclinés en version électrique. Et Toyota veut clairement booster leurs ventes. Son ambition est de voir les électriques représenter 30 % des ventes en 2025, contre 12 % actuellement. Pour cela, il va clairement les mettre en avant auprès de ses clients avec une offre bien vue : c’est satisfait ou échangé.

L’offre, valable jusqu’à la fin de l’année, permet à un professionnel d’acquérir en location longue durée un Proace City ou un Proace électrique et de l’échanger pour le modèle thermique équivalent s’il se rend compte dans les trois premiers mois que la motorisation électrique ne lui convient pas. Dans ce cas, le constructeur s’engage à lui échanger dans les six mois son véhicule électrique pour son équivalent thermique.

Toyota souligne que les utilitaires électriques peuvent convenir à de nombreux pros qui n’y pensent pas vraiment ou ont peur de sauter le pas. Les autonomies (330 km pour le Proace City, 350 km pour le Proace) suffisent pour un usage quotidien, et ces modèles ont des capacités de charge et de remorquage proches de celles des modèles diesel.

Surtout, le coût de détention (TCO) est avantageux. La marque explique : « Le budget s’équilibre dès lors que l’on prend en compte le coût d’acquisition et le coût d’usage. Par exemple, le TCO d’un Proace City Electric s’élève à 428 € HT/mois contre 487 € HT/mois pour un Proace City Diesel (sur 60 mois/100 000 km).

Pas encore totalement convaincu ? L’offre permet donc de s’y mettre sans risque, avec la possibilité de revenir en arrière au bout de trois mois.

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