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Informaticien passionné de Tesla, Damien a été l’un des premiers en France à recevoir son Model Y. Pour les lecteurs d’Automobile Propre, il livre ses premières impressions.
Damien est ce que l’on pourrait appeler un véritable mordu de Tesla. Propriétaire d’une Model 3, cet ingénieur en informatique a été l’un des premiers en France à recevoir le tout nouveau Model Y.
« La livraison était nickel. Comme ce n’était pas ma première Tesla, j’étais assez à l’aise pour récupérer le véhicule rapidement et repartir », se souvient-il. « Des défauts ? », questionne notre intervieweur. « Du tout ! J’ai fait le tour plusieurs fois. On a une augmentation de qualité qui est vraiment bluffante par rapport à ma Model 3 de 2019. Le gap est incroyable ! »
La Gigafactory de Berlin tardant à sortir de terre, Tesla a décidé de faire appel à son usine chinoise pour livrer au plus tôt ses clients européens.
Issue de la Gigafactory de Shanghai, la Tesla Model Y réceptionnée par Damien est une version Grande Autonomie (Long Range). À défaut de version propulsion, celle-ci constitue aujourd’hui l’entrée de gamme du constructeur sur le marché européen.
Car « chaque option aurait fait sauter le bonus écologique » de 2 000 €, Damien a choisi de faire l’impasse sur certains équipements. « L’intérieur blanc va me manquer, mais il fallait faire des choix », concède-t-il.
Seule option que compte bientôt ajouter Damien : le crochet d’attelage. « Pour l’instant on ne peut pas le commander à l’achat, mais seulement après en accessoire. Ce sera en seconde monte chez Tesla lorsqu’ils réceptionneront le matériel. C’est une question de semaines », nous précise-t-il.
Récupéré à Villepinte, le Tesla Model Y a fait le chemin jusqu’à Orléans. L’occasion pour Damien de nous faire un premier retour sur la conduite. « Elle est vraiment hyper confortable sur voies rapides. Sur route, c’est un peu plus dégradé, car on sent les aspérités de la route », constate-t-il, étonné par la frugalité du modèle. « J’ai été bluffé ! J’ai eu un Model X et je m’attendais à une consommation relativement élevée. Au final, j’ai consommé 172 Wh/km (17,2 kWh/km NDLR) sur autoroute, soit une consommation quasi identique à celle d’une Model 3. »
En dehors des performances, c’est aussi le confort que met en avant notre interviewé. La position de conduite est plus haute et les places arrière surélevées facilitent l’installation des enfants en bas âge. S’y ajoute l’avantage du coffre, plus volumineux que la Model 3, mais aussi plus pratique grâce à son hayon.
Comme les autres voitures électriques de Damien, la nouvelle venue sera en partie rechargée grâce à une installation photovoltaïque que Damien a installée dans son jardin. « J’ai 10 kW de panneaux qui produisent 8-9 kW avec un beau soleil. Comme je suis dans l’informatique, j’ai développé un petit programme qui permet de gérer et de mettre le surplus d’électricité produit dans les voitures », nous explique-t-il.
« Pourquoi pas une EV6 ou une Ioniq 5 ? » lance notre journaliste. S’il possède également une Fiat 500 électrique, Damien ne semble pas près de quitter la marque californienne. « Le fait d’aller à la concurrence sur l’électrique ne me pose pas de souci. Pour les longs trajets, l’avantage des superchargeurs est toutefois énorme aujourd’hui », constate-t-il, particulièrement sensible au côté tech des voitures de la marque californienne. « J’aurai vraiment du mal à aller à la concurrence », finit-il par avouer.
Cette passion pour la marque californienne, Damien la partage au sein du Tesla Owner Club France. Regroupant plus de 15 000 membres sur Facebook, cette association de passionnés organise de nombreux événements régionaux et une grande rencontre nationale chaque année. La prochaine se déroulera à Dijon les 8 et 9 octobre prochains. Avis aux amateurs !
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