La suite de votre contenu après cette annonce
Réalisée par l’association NGVA Europe, une étude européenne confirme les avantages et le potentiel du GNV vis-à-vis du diesel.
Si différentes études avaient déjà identifié la pertinence du gaz carburant dans les transports, il manquait encore une analyse well-to-wheel, du puits à la roue, pour mieux évaluer son bilan carbone sur l’ensemble de la chaîne de la valeur, de la production à la distribution en passant par les émissions à l’échappement. C’est désormais chose faite avec cette étude européenne que vient de publier l’association NGVA Europe en partenariat avec une cinquantaine d’acteurs de la filière.
Selon les conclusions du rapport, dont les résultats ont été validés par un cabinet indépendant, l’usage du gaz naturel permettrait de réduire de 7 % les émissions de CO2 par rapport à une voiture diesel et jusqu’à 23 % par rapport à l’essence pour les véhicules légers.
Pour les véhicules lourds, qui se développent énormément en France, la réduction serait de 16 % pour le gaz naturel comprimé (GNC) et de 15 % pour le gaz naturel liquéfié (GNL) par rapport au diesel.
Au même titre que la voiture électrique nécessite l’usage d’énergies renouvelables, le gaz vert est indispensable à l’amélioration du bilan carbone de la filière.
Selon les projections de NGVA Europe, la réduction de CO2 pourrait aller jusqu’à 36 % par rapport à l’essence avec seulement 10 % de biogaz et 10 % de gaz synthétique. Avec un gaz 100 % vert, issu de la méthanisation des déchets, la réduction irait jusqu’à 82 % pour les voitures particulières. De quoi offrir au GNV une place de choix dans le mix-énergétique européen.
La suite de votre contenu après cette annonce
Notre Newsletter
Faites le plein d'infos, pas d'essence !
S'inscrire gratuitement
Focus sur Tesla24 septembre 2024
Annonce partenaire
Annonce partenaire