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Comme chaque année, Tesla dévoile son Impact Report, qui fait un état des lieux sur les bénéfices écologique de ses voitures.
Derrière sa mégalomanie qui pourrait laisser croire qu’il veut exploser la planète, Elon Musk est au contraire investi dans la préservation de cette dernière. C’est la raison d’être de Tesla, qui a démocratisé la voiture électrique. Pour s’en assurer, Palo Alto dévoile son Impact Report.
Ainsi, Tesla annonce que tous ses clients ont aidé à accélérer la transition énergétique en économisant cinq millions de tonnes de CO2 émises par les voitures en 2020. Un bilan obtenu par les toujours plus nombreuses Tesla en circulation autour du globe, notamment depuis l’arrivée de la Model 3.
À ce titre, la marque annonce que sa dernière berline a besoin de 5 340 miles pour compenser les émissions de CO2 émises à sa fabrication. Soit 8 592 km, à partir desquels la Tesla Model 3 sera plus propre qu’un équivalent thermique. Cette dernière est une berline premium d’une consommation moyenne réelle (et non pas sur les données EPA) de 9,4 l/100 km pour 248,6 g/km de CO2 en prenant en considération les émissions nécessaires à l’extraction, au raffinage et au transport du carburant.
Tesla précise que pour ce calcul, un cycle de vie de 17 ans a été retenu, avec un kilométrage moyen de 19 308 km par an (12 000 miles). Le constructeur de préciser encore que l’impact environnemental d’une Model 3 dépend aussi du bilan carbone de l’énergie utilisée, mais aussi de l’utilisation de la voiture.
Palo Alto se targue aussi de proposer les véhicules électriques les plus efficients au monde. Dont la Tesla Model 3 Autonomie Standard Plus qui affiche une consommation de 5,1 miles/kWh, soit 12,19 kWh/100 km. Notons que Tesla base ici ses conclusions sur les données de l’EPA, et non plus sur des données réelles, comme c’était le cas au paragraphe précédent.
Parmi les autres informations, Tesla indique que ses voitures ont un risque de collision 4,5 fois moins élevé que les voitures d’autres marques. Le constructeur américain précise aussi que les Tesla impliquées dans un accident avec l’Autopilot engagé représentent 0,2 accident par million de miles parcourus. Sur la même base, une Tesla sans système de sécurité activé grimpe à 0,6, alors que le score d’une voiture américaine standard est plus de 9 fois supérieur.
Le constructeur précise aussi que les risques d’incendie en Tesla sont 11 fois inférieurs par rapport à la moyenne. Les données indiquent ainsi qu’une Tesla prend feu tous les 205 millions de miles, alors qu’il faut compter 19 millions de miles parcourus avec une autre voiture.
Enfin, Palo Alto fait le point sur ses batteries et leur durée de vie. Tesla précise que les sites de productions préparent un circuit fermé qui permettra de recycler la totalité des batteries à hauteur de 92 %. En 2020, Tesla a pu recycler 1 300 tonnes de nickel et 80 tonnes de cobalt.
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