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Si la R5 série est très proche du concept, il y a tout de même quelques différences, plus ou moins visibles ! Prêt pour un jeu des 7 erreurs ?
Parfois, entre le concept et la série, il y a une déception. Ce n’est pas le cas avec la R5. Luca de Meo, directeur général de Renault, a veillé à cela. Il souhaitait que le coup de coeur du concept ne soit pas dénaturé par la redoutable étape de l’industrialisation.
Quitte à inverser le processus de conception, en concevant une plate-forme qui s’adapte aux belles proportions de l’étude de style. Car, comme l’a expliqué Gilles Vidal, patron du design Renault, lors de la présentation de la voiture, de belles proportions, c’est déjà la moitié d’un design réussi.
La R5 définitive a gardé l’allure musclée du prototype. Toutes les grandes lignes ont également été conservées. Au final, les évolutions tiennent des petits détails. Alors, qu’est-ce qui a changé ? On fait le tour du véhicule pour comparer et jouer aux 7 différences !
À lire aussiVidéo – Renault 5 électrique : la présentation complète pour tout savoir, nos impressions à bordLe concept avait des optiques en trapèze. Elles avaient en partie basse un insert couleur carrosserie. La version de série garde l’idée de la carrosserie qui remonte dans les phares, mais de manière « directe ». Les optiques forment donc ici des pointes de chaque côté. Dommage, elles s’éloignent de la forme d’origine, ce qui est pourtant important pour un design néo-rétro.
Pour les carrés de chaque côté, la signature lumineuse ne fait plus tout le tour, mais décore les angles. Et cet aspect a été repris dans les optiques au-dessus. Le logo lumineux a été abandonné. A l’arrière, la signature lumineuse est fidèle au concept, avec toutefois un dessin adapté à la présence de toutes les fonctions d’éclairage nécessaires à la série.
Le concept avait six fines fentes. Sur la version de série, on en retrouve trois en partie supérieure. Mais en-dessous, il y a une grande ouverture, nécessaire pour mieux refroidir la mécanique, une contrainte dont le concept n’a pas à se soucier. Entre, une plaque d’immatriculation est apparue, chassant le monogramme Renault.
Parmi les clins d’oeil au passé, il y a celui à la prise d’air sur le capot. Sur le concept, c’était évoqué pour la recharge, mais en série, la prise est cachée dans l’aile côté conducteur. La version de série a toutefois gardé un élément dans le capot, qui est cette fois un indicateur de niveau de charge.
La R5 de série n’a pas eu le droit aux poignées avant affleurantes du concept. On en trouve pourtant sur les Megane et Scénic. Mais cela a un petit coût, Renault a fait des choix. Les rétros ont aussi évolué, ce qui est logique, ils doivent être plus imposants pour répondre à des normes.
On retrouve le bandeau qui traverse le hayon entre les feux. Mais il était lumineux et rouge sur le concept. En série, plus de lumière, il est noir, avec un aspect strié. Il n’y a plus le losange, mais juste le numéro 5, tandis que Renault est écrit en toutes lettres.
C’est peut-être la transformation la plus visible. Sur le concept, le bouclier arrière intégrait un large et haut insert façon plastique brut, au design simple. Sur la version de série, si on retrouve le contour général de cet élément, la zone est en bonne partie peinte couleur carrosserie. Le noir se limite à la partie basse, plus une bande sous la plaque, autre ajout nécessaire pour un véhicule de série.
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